Vendredi 18 novembre 5 18 /11 /Nov 11:03

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Bonjour,

 

Je suis France de Scat, j’ai 18 ans et je suis la fille du Marquis de Scat, aristocrate belge. Je profite d’une maladresse de mon père qui a laissé son blog ouvert pour y écrire (il ne connaît rien aux ordinateurs et à internet). Je voudrais vous raconter une histoire qui renvoie ses vieux principes dans leur siècle d’origine.

 

Ma jeunesse cause des soucis à ma famille car le monde d’aujourd’hui s’éloigne de plus en plus des valeurs qu’elle défend (tradition, discipline, obéissance etc.) et je suis exposée à ces changements. Par exemple mon père m’a toujours appris que la femme est soumise à l’homme. Je l’ai longtemps cru mais ce n’est plus le cas maintenant. Je sais même comment me servir de mes charmes (et de mon petit cul) pour les faire passer pour des imbéciles.

 

Mon histoire commence durant l’année scolaire qui s’est achevé. Je devais absolument faire remonter mes notes d’anglais pour le contrôle continu du baccalauréat de terminale. Je suis hyper mauvaise en anglais et j’avais autre chose à faire que de travailler pour progresser en langue. Il y avait une rumeur qui couraient sur le professeur, et ça tombait assez bien. Depuis qu’on avait retrouvé une caméra espionne dans les toilettes des filles c’était lui qui était pointé du doigt. Les autres filles ont fait un scandale autour de ça alors que moi je m’en fichait complètement. Si un mec voulait se branler sur une vidéo de moi aux chiottes tant mieux pour lui. Mais si c’était vraiment lui le pervers qui voulait voir ce genre de choses ça allait me faciliter la vie.

 

Je suis donc aller le voir et après quelques banalités j’ai embrayée direct : « Monsieur, je ne suis pas comme les autres

- C’est à dire ?

- Je suis majeur

- Je ne comprends pas

- Il n’y a pas un moyen pour remonter mes notes ?

- Si, le travail

- Non monsieur ce n’est pas ce que je voulais dire

- Bon écoutez France vous me fatiguez, il est 16 heures, je dois ren…

- C’est vous qui avait mis une caméra dans nos toilettes »

 

Ma question l’a laissé bouche bée et j’ai bien vue qu’il commençait à paniquer. Il fallait que je le rassure avant qu’il me claque dans les pattes.

 

« Non mais attendez, moi je m’en fiche de ça. Les autres ouais elle ont pas aimées mais c’est pas mon problème »

 

Il a jeté un regard derrière moi comme pour vérifier si ce n’était pas une blague et que personne n’étaient cachées, en train d’écouter la conversation.

 

« Moi tout ce que je veux c’est remonter mes notes pour le bac

- Alors il… Il faudra encore trav… Travailler… Beauc…

- Mais j’ai pas envie

- C’est pou… Pourtant ce qu’il…

- Je peux faire pipi devant vous

- Euh…

- Je dis ça c’est pas rapport à la caméra dans les chiottes. Je peux vous emmener avec moi pendant que je fais pipi

- …

- A moins que c’était pour nous voir faire caca ?

- Euh… France… Euh, pas tout de suite

- Je peux le faire ça me dérange pas, en plus là j’ai un peu envie alors

- Non pas là

- Mais il y a un contrôle demain et je vais encore me ramasser »

 

Il a réfléchi un peu puis m’a donné rendez-vous aux toilettes du CDI. A cette heure-là il n’y a plus personne et on ne risquait pas d’être dérangé. Je n’ai pas un goût particulier pour ces choses mais de savoir un homme tellement subjugué par moi qu’il est prêt à assister à un spectacle aussi dégueulasse me plaisais en fin de compte un peu.

 

Quand j’y suis arrivée tout était vide mais une voix résonna d’une des cabine

 

« Je suis là »

 

C’etait le professeur. Je suis rentrée dans la vaste cabine où il se trouvait.

 

« Ferme la porte » dit-il

 

Je ferma la porte et il s’approcha de moi. Bien plus sûr de lui que tout à l’heure, il me regarda intensément.

 

« Comme tu es belle » dit-il avant de poser une main sur mon ventre qu’il caressa doucement. Il avait un jeu en tête et il n’avais pas perdu de temps pour engager la partie.

 

« Tu as envie de faire caca ? » Demanda-t-il

 

Même si je m’y attendait, cette question me chamboula quelque peu

 

« Oui il faut que tu fasses ton caca » Demanda-t-il à nouveau

- Je sais pas, répondis-je bêtement

- Non, répondit le professeur, si tu veux mériter ces bonnes notes, il faut que tu rentres dans mon jeu

- Alors euh… Oui

- Non, insista-t-il, il faut que tu emploie le même langage comprends-tu ?

- Oui il faut que… Oui il faut que je fasse caca »

 

J’avais, je ne sais pourquoi, le sentiment que la situation m’échappait lentement. Mais ces notes d’anglais avait trop d’importance, je décida donc de continuer.

 

« Je dois faire mon caca Monsieur, dis-je sagement, Je peux s’il vous plaît ?

- Installe toi »

 

Je baissa mon pantalon et ma culotte dévoilant mon sexe à cette homme de cinquante ans qui jeta à peine un regard sur ma petite chatte. Manifestement, il n’en n’avait qu’après ce qui allait sortir de mon petit cul. Ayant compris son jeu j’en rajouta pour le satisfaire

 

« Vous pouvez rester Monsieur pendant que je fais caca ?

- Pourquoi ?

- Je voudrais que vous me regardiez »

 

Le professeur était ravi et quand je m’installa sur la cuvette des toilettes il s’agenouilla à ma droite et posa ses deux mains à plat sur ma cuisse. Son regard se perdait dans les méandres de mon corps et je commença à pousser pour extraire de moi ce caca qui le fascinait tant

 

Avant même la moindre merde c’est un énorme pet qui sortit. Même s’il venait de moi son odeur me dégouttait et semblait au contraire faire la satisfaction de mon professeur. Je ne voulais plus traîner et je continua à pousser quand je sentis, après deux autres petit pet, que je commençais bien à chier avec cette homme à côté de moi.

 

« Parle voyons, dit-il

- Je sens mon caca qui sort, répondis-je bêtement,j’aime bien faire caca… Et… Je suis contente que vous soyez là

- Tu veux le papier toilette pour t’essuyer ?

- Non je n’ai pas fini. Je ne veux pas m’essuyer de toute façon, je veux garder mon trou sale avec du caca dessus »

 

Je ne sais pas pourquoi je disais tout ça ni où j’allais le chercher mais c’était rudement efficace car son regard était concentré

 

« C’est beau ce que tu fais, dit-il, tu le sais ?

- Oui j’aime bien »

 

Au moment ou le premier bout de ma merde tombait dans l’eau il ajouta : « C’est un jolie caca de lycéenne que tu fais là

- Oui avec mes amies on fait de jolies caca »

 

Je ne comprenais pas trop ce qui lui plaisait dans son fantasme mais plus j’y participais, plus je savais que mes notes d’anglais seraient bonnes. Je fis un deuxième caca et je sentis que c’était la fin. Qu’avait-il prévu pour conclure ?

 

« J’ai fini mon caca Monsieur, dis-je

- Oh c’est tout, répondit-il, tu ne veux pas utiliser de papier alors je vais t’essuyer moi-même ton petit cul »

 

Il parcourra mes jambes avec ses mains et je sentis qu’il allait diriger sa main droite vers mon cul ce qu’il ne manqua pas de faire. Il essuya en effet mon cul avec ses doigts et je regretta d’être entrer dans son délire en refusant plus tôt le papier toilette. Il ramena sa main, avec ma merde dessus, vers lui pour la sentir et il fît ce que je craignais, il la dirigea vers moi et vers ma bouche.

 

« Vous les lycéennes vous êtes quand même de vrai salope » dit-il

 

Pressentant ce qu’il allait me demander de faire je décida de prendre les devants en continuant son jeu

 

« Je suis géné Monsieur, Dis-je

- Pourquoi petite ?

- C’est vrai que je suis une salope mais à cause de moi vous avez mon caca sur la main. J’aurais due m’essuyer comme une petite fille bien sage.

- C’est vrai que ce n’est pas bien, à cause de toi j’ai de la merde sur le doigt »

 

Et ce que je craignais arriva

 

« met-le dans ta bouche »

 

Il dirigea son doigt très vite vers ma bouche et je n’ai pas eu le temps de reflechir. Je l’ai ouvert et son doigt est entré avec ma merde. Heureusement ce n’était pas aussi catastrophique que ça. Ce n’était pas spécialement bon, mais ce n’était pas non plus mauvais parce que je trouvais quelque chose de plaisant à la situation. Après tout je suis bonne, largement baisable, il y a des tas de mecs qui vendraient leurs grand-mère pour goûter mon caca. Moi j’avais la source directement, c’est une chance.

 

J’ai donc obtenu de très bonnes notes en anglais et j’ai eu mon bac. Et comme j’ai découvert que je n’avais pas de limite j’ai pu agir comme ça à l’université aussi.

 

Par Marquis de Scat
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Vendredi 22 juillet 5 22 /07 /Juil 15:26

La première histoire que j'avais envie de vous raconter s'est déroulé il y a quelques années déjà. Elle concerne ma fille ainée Solange. Elle est l'incarnation même de la femme tel qu'elle doit être. Elle se soumet sans jamais protester aux ordres que lui donnes les hommes et les garçons. J'ai justement une anecdocte à ce sujet.


Cette histoire contient :Humiliation, scatophilie


Nous étions dans notre maison de campagne, elle avait alors 18 ans et n'allait trouver de prétendant qu'un an plus tard. J'avais travaillé dur dans les jardins avec ses cinq cousins durant toute la semaine, et au lieu de leur offrir simplement un petit verre d'alcool, j'entrepris plutôt d'aller chercher Solange pour que les garçons puissent, en quelque sorte, se détendre après cette semaine de labeur. Je savais qu'elle aidait sa mère et les servantes avec la cuisine, mais je la trouva dans les couloirs allant je ne sais où. Elle protesta d'abord, sans doute parce que je ne lui avait encore jamais demandé une telle chose et qu'elle redoutait l'apetît sexuelle de ses cousins qu'elle avait déjà vu à l'oeuvre avec Amélie, la cuisinière. Mais je voulais vraiment récompenser les garçons et Héléne était une femme de peu de chose. Elle insista pour reporter de quelques minutes cette "obligation de femme". Mais je refusa énergiquement et pour la punir, en quelque sorte, au lieu de l'amener au salon et la laisser libre de ses mouvement, je l'attacha dans la cuisine et invita les cousins à m'y rejoindre. En fait j'ai trouvé cette photo sur internet qui représente exactement la position dans laquelle je l'avais ficellée.

Fille

Attachée ainsi, elle appartenait entièrement à ses cousins. Comme les garçons savent ce qu'ils veulent contrairement aux femmes, c'est bien connu, ils sautèrent sur l'occasion et passèrent un à un pour baiser leur cousine au milieu des casserolles et des servantes qui préparait le souper. Ils avaient bosser dur, ils méritaient un endroit ou se mettre la bite au chaud quelques instants. Solange savait qu'elle ne devait protester, et s'était détendu au fur et à mesure. C'est avec le quatrième cousin que cela changa. Ayant réfléchi, il réalisa que l'occasion était trop rare de prendre Solange par le cul, qu'il fallait en profiter maintenant. Sans même la prévenir, il enfonca son dard doucement dans son cul. Solange n'eu pas l'air d'avoir mal comme je l'aurais pensé, mais au contraire semblait plutôt génée.


J'eu l'explication quelques secondes plus tard quand le cousin resorti sa bite taché de merde sur le gland. Ma petite fille avait le cul plein de et ce niguaud avait décidé de l'enculer à ce moment-là. Je réalisa que c'était cela la raison pour laquelle elle nétait pas dans la cuisine mais dans les couloirs, et qu'elle avait refusait de m'obéir contrairement à d'habitude, elle allait au cabinet pour ses gros bessoins. Elle connaissait bien ses cousins et elle savait qu'ils voudraient la sodomiser, depuis toujours il faisait référence à son anus comme une partie de son corps qu'ils désiraient bien plus ardamment que son minou. Mais le plus fort restait à venir car, au lieu de rouspeter contre sa cousine qui venait de lui salir la bite avec son caca, le cousin renfonca aussitôt sa queue et tambourina le cul de la petite si fort qu'il en jaillissait toujours plus de merde. Ma femme et les servantes ne purent s'empêcher de suspendre leur tâche pour regarder le spectacle, le bruit spécifique et surtout l'odeur les ayants alertées.


Au moment de se retirer le cousin laissa ma fille  avec l'anus et une petite partie de ses fesses recouvert de merde. Le cinquième et dernier cousin décida d'aller dans sa chatte comme les précèdents, mais semblant trouver la chose trop répétitive, il s'engoufra à son tour dans l'anus de ma fille qu'il lima pendant cinq bonnes minutes. Au moment d'enlever sa bite il laissa ma fille pantois, l'anus à tel point dilaté qu'elle ne pouvait plus rien retenir de la chiasse qui se trouvais à l'intérieur d'elle. Des morceaux de merde tombaient un à un sur le sol. Les garçons s'en allèrent dans le salon pour aller y prendre un repos bien mérité pendant que je détachais Solange. Elle semblait, après cette éxpèrience particulièrement humiliante vouloir me dire quelque chose. Mais elle se retint et sans même que je lui en donne l'ordre se saisit des ustensiles de ménage que sa mère avait ramené pour nettoyer tout ce qu'elle avait déverssé par terre.


Tout ce qui est écrit comme propos relèvent du fantasmes. Je condamne bien sûr avec une très grande fermetée les actes de violence, de viols, de harcèlement et d'incestes. Et j'ajoute que le consentement est indispensable dans quelques relations que ce soit

Par Marquis de Scat
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Mardi 19 juillet 2 19 /07 /Juil 08:31

 

Prologue: Tout ce qui suit comme propos relèvent du fantasmes. Je condamne bien sûr avec une très grandefermeté les actes de violence, de viols, de harcèlement et d'incestes. Et j'ajoute que le consentement est indispensable dans toute relation sexuelle.

 

Je suis  Monseigneur le Marquis de Scat, homme de petite noblesse issu d'un milieu aristocratique belge très conservateur. Au sein de notre famille nousperpétuonsles traditions depuis plusieurs générations. Je suis doncle pèrede sept enfantsà qui jenseigne, avec l'aide de ma compagne, les valeurs qui sont les garantes d'une société prospère et paisible.

 

AvMarq

 

Tout d’abord les valeurs patriotiques. L’amour de notre patrie la Belgique, de son histoire et de sa famille royale. C’est à travers cela que se construira leur identité et leur volonté de défendre le patrimoine que je leur léguerais. Par ces temps incertain où la culture de notre pays est bafoué par certaines personnes je veux savoir que mes enfants sont à mes côtés pour empêcher les sois-disant progressistes de nous déposséder de nos terres et de notre héritage.

 

 

Mes enfants ont reçus, comme ce fût mon cas, un enseignement catholique dans des écoles privées. Je tiens à ce qu’il respectent à chaque moment de leur vie les écrits de la bible que je résumerai ainsi : il faut, pour que l’équilibre règne, que certains dominent et que d’autres se soumettent. Dieu a désigné l’homme pour dominer la femme et les animaux. Ma femme se soumet donc en bonne catholique à toutes mes volontés. Mes filles doivent suivre également cette directive divine. En effet si l’homme est par nature fort, travailleur et bâtisseur la femme est en revanche faible, peureuse et peut encline à l’effort physique. Elle ne peut donc que servir l’homme et satisfaire ses désirs en étant la propriété de son mari, et avant cela de son père, car elle ne pourrait survivre seule dans ce monde hostile.

 


Par Marquis-de-Scat
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