Vendredi 22 juillet 5 22 /07 /Juil 15:26

La première histoire que j'avais envie de vous raconter s'est déroulé il y a quelques années déjà. Elle concerne ma fille ainée Solange. Elle est l'incarnation même de la femme tel qu'elle doit être. Elle se soumet sans jamais protester aux ordres que lui donnes les hommes et les garçons. J'ai justement une anecdocte à ce sujet.


Cette histoire contient :Humiliation, scatophilie


Nous étions dans notre maison de campagne, elle avait alors 18 ans et n'allait trouver de prétendant qu'un an plus tard. J'avais travaillé dur dans les jardins avec ses cinq cousins durant toute la semaine, et au lieu de leur offrir simplement un petit verre d'alcool, j'entrepris plutôt d'aller chercher Solange pour que les garçons puissent, en quelque sorte, se détendre après cette semaine de labeur. Je savais qu'elle aidait sa mère et les servantes avec la cuisine, mais je la trouva dans les couloirs allant je ne sais où. Elle protesta d'abord, sans doute parce que je ne lui avait encore jamais demandé une telle chose et qu'elle redoutait l'apetît sexuelle de ses cousins qu'elle avait déjà vu à l'oeuvre avec Amélie, la cuisinière. Mais je voulais vraiment récompenser les garçons et Héléne était une femme de peu de chose. Elle insista pour reporter de quelques minutes cette "obligation de femme". Mais je refusa énergiquement et pour la punir, en quelque sorte, au lieu de l'amener au salon et la laisser libre de ses mouvement, je l'attacha dans la cuisine et invita les cousins à m'y rejoindre. En fait j'ai trouvé cette photo sur internet qui représente exactement la position dans laquelle je l'avais ficellée.

Fille

Attachée ainsi, elle appartenait entièrement à ses cousins. Comme les garçons savent ce qu'ils veulent contrairement aux femmes, c'est bien connu, ils sautèrent sur l'occasion et passèrent un à un pour baiser leur cousine au milieu des casserolles et des servantes qui préparait le souper. Ils avaient bosser dur, ils méritaient un endroit ou se mettre la bite au chaud quelques instants. Solange savait qu'elle ne devait protester, et s'était détendu au fur et à mesure. C'est avec le quatrième cousin que cela changa. Ayant réfléchi, il réalisa que l'occasion était trop rare de prendre Solange par le cul, qu'il fallait en profiter maintenant. Sans même la prévenir, il enfonca son dard doucement dans son cul. Solange n'eu pas l'air d'avoir mal comme je l'aurais pensé, mais au contraire semblait plutôt génée.


J'eu l'explication quelques secondes plus tard quand le cousin resorti sa bite taché de merde sur le gland. Ma petite fille avait le cul plein de et ce niguaud avait décidé de l'enculer à ce moment-là. Je réalisa que c'était cela la raison pour laquelle elle nétait pas dans la cuisine mais dans les couloirs, et qu'elle avait refusait de m'obéir contrairement à d'habitude, elle allait au cabinet pour ses gros bessoins. Elle connaissait bien ses cousins et elle savait qu'ils voudraient la sodomiser, depuis toujours il faisait référence à son anus comme une partie de son corps qu'ils désiraient bien plus ardamment que son minou. Mais le plus fort restait à venir car, au lieu de rouspeter contre sa cousine qui venait de lui salir la bite avec son caca, le cousin renfonca aussitôt sa queue et tambourina le cul de la petite si fort qu'il en jaillissait toujours plus de merde. Ma femme et les servantes ne purent s'empêcher de suspendre leur tâche pour regarder le spectacle, le bruit spécifique et surtout l'odeur les ayants alertées.


Au moment de se retirer le cousin laissa ma fille  avec l'anus et une petite partie de ses fesses recouvert de merde. Le cinquième et dernier cousin décida d'aller dans sa chatte comme les précèdents, mais semblant trouver la chose trop répétitive, il s'engoufra à son tour dans l'anus de ma fille qu'il lima pendant cinq bonnes minutes. Au moment d'enlever sa bite il laissa ma fille pantois, l'anus à tel point dilaté qu'elle ne pouvait plus rien retenir de la chiasse qui se trouvais à l'intérieur d'elle. Des morceaux de merde tombaient un à un sur le sol. Les garçons s'en allèrent dans le salon pour aller y prendre un repos bien mérité pendant que je détachais Solange. Elle semblait, après cette éxpèrience particulièrement humiliante vouloir me dire quelque chose. Mais elle se retint et sans même que je lui en donne l'ordre se saisit des ustensiles de ménage que sa mère avait ramené pour nettoyer tout ce qu'elle avait déverssé par terre.


Tout ce qui est écrit comme propos relèvent du fantasmes. Je condamne bien sûr avec une très grande fermetée les actes de violence, de viols, de harcèlement et d'incestes. Et j'ajoute que le consentement est indispensable dans quelques relations que ce soit

Par Marquis de Scat
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